la muse s'amuse

Tribut nul L’ai je déjà rencontrée ? Non l’audience est une première….. Une Castafiore à la haine mercenaire Parle de moi Elle persifle et affirme, Sous entend et ironise du fiel plein la bouche, en lui prouvant sa complicité car par lui grassement payée pour me faire chuter. Et lui ? Assez gêné Mais que n’aurait il fait pour me dire mon fait Et se libérer des accords qu'il me reproche à tort. Le juge me donne raison Castafiore est bidon ! Comme tout plaideur à la solde Elle devra haïr encore Ailleurs, une autre Isolde dont l’ex caracole avec une avide faribole

Poexie veut dire poèmes satiriques liés à l'ex et servant de défouloir....sans se défouler sur l'autre !

la peinture il faut bien repeindre sa vie si une nouvelle on introduit aux lieux de l’ancienne mie on lui fait de la place et on ripolinasse le mur bleu en jaunasse et le reste on efface de l’ex, toutes les traces sous une nouvelle crasse ma foi assez chiennasse c’est pas dulux c’est valentine qui ripoline aux quatre coins de l’ancienne place un petit jet jaunasse et des drapeaux fadasses marquent sa nouvelle place mais c’est pas assez de place que celle de l’ex grognasse…. et on pond un Jonas qui saura faire rimer son nom avec ---asse la brune devient blondasse pour que l’ex on dépasse ! est ce que je me trompasse ? ou ai je l’esprit salace celui d’une vrai follasse bien dégueulasse ?

LE BÉBÉ Je fais le missionnaire Futur soldat de ma cause Et objet de cette prose Un bébé stratégique Un plan machiavélique Ourdi sur l’oreiller Pour faire un héritier Et peupler MON terrier Je fais ce bel enfant Pour occuper mon temps Et en faire un savant Un outil de symétrie Face aux bébés de l'ire/haine De mon ex-mari Qui m’ont si fort marrie Et éloigner aussi tous ceux de mon mari Ceux de son premier lit Je vais jouer à la poupée Ça occupe les journées Puisque je suis exilée Et te voilà, bébé Dans mon monde opulent Et si sécurisant Moi, on ne m’oublie pas, Moi Moi, je ne m’efface pas, Moi Je saurai résister Et procréer Et t’utiliser, Pour exister Pour l’épouser

Le musée Un banquier défroqué entre dans un musée Du fond de sa rétine il cherche Valentine Pour se congratuler d’être au dessus du panier combien va-t-on valoir avec tout ce savoir ? ça s’compte pas en argent mais au regard des gens qui nous voient si à l’aise qu’ils nous croient très balèzes. Dès lors, rassérénés On sort de ce musée *** Mais on y reviendra Avec les petits rats Pour en faire une corvée Et des rats policés Et bien dressés Pour briller !

JOUG-JOUE Sous le joug depuis 25 ans Tu cries et te libères Tu joues et puis tu perds Une rente de milliers d’francs Mais gagnes tes enfants Voir même l’estime de gens Momentanément Pas pour bien longtemps L’amertume te rongeant Ta compagne te soutenant Pour qu’elle puisse profiter De c’ que je n’ peux donner Ensemble vous m’attaquez Au lieu de profiter D’la vie et d’vot’bébé Du bonheur des enfants Comme celui des parents …Fin d’une guerre de 6 ans… Amertume quand tu nous tiens Tu déclenches gravement Des conflits trop méchants Qui ne rapportent rien De bien Sous le joug Tu joues Tu perds Et mets en joue Pour des sous Mais en dessous Soupe au lait C’est pas la paix Et c’est laid

Many Salut Many mon fils Many-fique Many-tude *Many Many Many* Many-festation Many-gestation Many-aquerie Many-Pulation Many-population Many-copulation Manie d’une main de fer Digne du vrai führer Dont l’anni l’anni Est celui du mari mari Mais non mais non Many Ganz Manigance *Many Many Many (* refrain)